1. |
Le temps s'oublie
02:00
|
|||
La vapeur se dégage,
Précédée d’une flamme
Qui parfume mes idées
J’avance dans les nuages
Qui parsèment les parages
Et agissent tels des solutés
Dans les hautes stratosphères
Où le temps s’oublie lui-même, où le temps s’oublie,
Où le temps emporte les dilemmes
Dans les hautes stratosphères
Ahhhh ahhhhh
Ahhhh ahhhhh
Dans les hautes stratosphères
Où le temps s’oublie lui-même, où le temps s’oublie,
Où le temps emporte les dilemmes
Dans les hautes stratosphères
Où le temps s’oublie lui-même, où le temps s’oublie,
Où le temps, où le…
|
||||
2. |
Béta-Carotène
03:44
|
|||
La crise, au bord des larmes, au bord des lèvres, à bout de souffle, à bout de fièvre…
La paralysie des gestes, sous paroles indisgestes, comme des seaux d’eau glacée, comme l’hiver.
Même le froid noircit les doigts.
Réchauffe-toi, réchauffe moi…
Ahhhh…
Brule mon corps, je tuerai les démons, je tuerai mes démons
Ces diables, qui dévorent mon nom.
Comme brule mon corps, je tuerai les démons, je tuerai mes démons
Ces diables, qui dévorent mon nom.
Je suis la Carotte Polaire
Je tergiverse entre les deux bouts de ma terre
J’enterre le béta-carotène, j’enracine mes veines, la bipolarité dans l’éther
Même tes doigts blanchissent le froid
Réchauffe-toi, réchauffe-moi.
Ahhh….
Brule mon corps, je tuerai les démons, je tuerai mes démons
Ces diables, qui dévorent mon nom.
Comme brule mon corps, je tuerai les démons, je tuerai mes démons
Ces diables, qui dévorent mon nom.
J’inspire mon être, étrange atmosphère,
Je sens les mots qui se taisent, je ries des mots qui me biaisent
J’expire mon être, étrange atmosphère,
J’entends les mots qui se taisent, j’oublies les mots qui me biaisent
Comme brule mon corps, je tuerai les démons, je tuerai mes démons
Ces diables, qui dévorent mon nom.
Comme brule mon corps, je tuerai les démons, je tuerai mes démons
Ces diables, qui dévorent mon nom.
Comme brule mon corps, je tuerai les démons, je tuerai mes démons
Ces diables, qui dévorent mon nom.
Comme brule mon corps, je tuerai les démons, je tuerai mes démons
Ces diables, qui dévorent mon nom, qui dévorent nos noms.
|
||||
3. |
Paint all my skin
02:54
|
|||
It’s hard to say, so here it goes
I’m always away, who knows
Where my mind has been
I took some time, to work it out
To think of all, my prides and doubt
To find out where my heart has been
I see the light, I feel the cold
I feel it’s right, the passion rose
Like the bruises on my skin…
I see the lord, I feel the lord
Let the blues rather paint all my skin
Let the bruises paint all my skin
I’d rather have the blues out than in
Let the blues rather paint all my skin
I never ask for second chances
There is no fault to forgive
Our differences will take us out of place
I never knew, how much to give,
How much to care, so defensive
I wish I’d be able to guess
Or find a way to overview
And overcome those fears of you
And bring our hearts face to face
I see the lord, I see the lord, I see the lord, I… please
Let the blues rather paint all my skin
Let the bruises paint all my skin
I’d rather have the blues out than in
Let the blues rather paint all my skin
Let them paint all my skin
Ahhhhhh
I’d rather have my skin
Ahhhhh
I’d rather the blues out
|
||||
4. |
In and out
02:56
|
|||
Please don’t answer my questions
I don’t want to know
If our hearts grew apart
Maybe I should just let it go
Maybe I should just let it go
But I keep falling in and out of love with you
I keep falling in and out of love with you
Please, don’t be in pain
Maybe our paths will cross again
I am thankful for it all
And for what will be
But I keep falling in and out of love with you
I keep falling in and out of love with you
I keep falling in and out of love with you
I keep falling in and out of love with you
I keep falling in and out of love with you.
|
||||
5. |
Casse-tête
04:20
|
|||
J’ai la manie de tout confondre
L’enfer, les cieux quand ils grondent
Le bleu, l’en-vert, le jaune de mes yeux qui fondent
Regards amers comme une pluie qui t’inondent
Mes pupilles t’inondent
Ahhhhh
Ahhhhh
J’ai la maladie du casse-tête
Je me rends aveugle quand je m’entête
Je fais la sourde oreille à mon air bête, pour leur plaire,
À eux, ces dieux, qu’on doit satisfaire, que j’aime satisfaire.
Ahhhhh
Ahhhhhhh
Ahhhhhh
|
||||
6. |
Accoster tes rivages
03:37
|
|||
Dans les corridors des marées de sang-froid
J’ai creusé mon chemin pour contourner les combats
Pour esquiver l’affrontement, j’ai bravé les naufrages
J’ai traversé tes océans, j’ai contemplé tes côtes
J’ai exploré tes paysages
J’ai levé les voiles
Et gonflées par les vents du nord, elles m’emportent vers de plus beaux présages
Ce que le ciel dévoilera
Recomposera mon sort
Mais je souhaiterais accoster tes rivages
J’ai dispersé mes secrets aux quatre coins de la Terre, aux nombreux vents de mes idées
J’ai du revenir sur mes pas, sans réussir à les retracer…
Tes chuchotements et la mer m’ont distraite en cours de route, en cours de doute, en cours de toi…
J’adressais tes eaux troubles avec la plus simple des voies.
J’ai levé les voiles
Et gonflées par les vents du nord, elles m’emportent vers de plus beaux présages
Ce que le ciel dévoilera
Recomposera mon sort
Mais je souhaiterais accoster tes rivages
J’ai levé les voiles
Et gonflées par les vents du nord, elles m’emportent vers de plus beaux présages
Ce que le ciel dévoilera
Recomposera mon sort
Mais je souhaiterais accoster tes rivages
Recomposera mon sort
Mais je souhaiterais accoster tes rivages
Recompos’ras-tu mon corps
Je souhaiterais accoster tes rivages
Recompos’ras-tu mon corps
Pour que je puisse accoster tes rivages
|
||||
7. |
Les somnifères
03:19
|
|||
O-oh, o-oh, oh, o-oh, o-oh.
O-oh, o-oh, oh, o-oh, o-oh.
Juste un instant de paix, une trêve dans la guerre que j’ai créée.
Juste une nuit sans éveil, pour vivre un rêve.
Je n’ose pas tenter les somnifères, je n’veux pas d’un sommeil synthétisé
J’ai besoin d’un chaos parfait pour soulager les blessures infligées.
O-oh, o-oh, oh, o-oh, o-oh.
O-oh, o-oh, oh, o-oh, o-oh.
J’ai choisi mon arme pour combattre les prétentions démentes
Les illusions sauvages et la pression sur des épaules qui élancent
Dans l’épouvante d’une réalité qui me hante… qui me hante.
J’ai rejoint les rangs des bohémiens qui combattent les sangs d’encre, et malgré moi…
Juste une nuit sans éveil devînt une ancre…
Les guérillas de passion prolifèrent, mais je ne veux pas de ce sommeil synthétisé.
Je veux vivre un chaos parfait et soulager… vos blessures infligées.
O-oh, o-oh, oh, o-oh, o-oh.
O-oh, o-oh, oh, o-oh, o-oh.
J’ai brisé mon âme pour abattre tes prétentions démentes
J’essuierai mes larmes pour m’ébattre sans tes prétentions violentes.
J’ai choisi mon arme pour combattre tes prétentions démentes
Les illusions sauvages et la pression sur des épaules qui élancent
Dans l’épouvante d’une réalité qui me hante… qui me hante… qui me hante.
O-oh, o-oh, oh, o-oh, o-oh.
O-oh, o-oh, oh, o-oh, o-oh.
O-oh, o-oh, oh, o-oh, o-oh.
O-oh, o-oh, oh, o-oh, o-oh.
|
La Carotte Polaire Montreal, Québec
La direction artistique primordiale de La Carotte Polaire, c'est de rendre ton coeur heureux. Par tous les moyens
imaginables et possibles, rendre ton coeur plus léger.
La Carotte Polaire est une auteur-compositrice-interprète qui fusionne sa musique indie rock/dream pop au cirque, à l’art visuel, au théâtre, et à la danse.
... more
Streaming and Download help
If you like La Carotte Polaire, you may also like:
Bandcamp Daily your guide to the world of Bandcamp